Reconquérir la fabuleuse poétesse d’autrefois
À l’instar du troubadour chantant l’amour courtois
Dans la langue d’oc
Avec sa cithare envoûtante
Qui dépose en son cœur noble
La tendresse jadis éprouvée
Au temps des moissons
Par son âme de preux chevalier
Entrevoir sa silhouette parfaite
Empreinte de poésie
La vague qui déferle
Sur son corps ambré, nu.
J’emporte avec moi
Par mes lèvres chaudes
L’ivresse de la passion
Afin d’embrasser ses seins
Qui explosent de chaleur
Tels à un volcan en éruption
De mes doigts empressés
Je parcours tout son corps chaleureux
De ma bouche, j’emprunte le chemin
Qui me mènera enfin
Jusqu’à la vigne d’Aphrodite
Je savoure avec délice
Ce tendre moment brûlant
Avec mes lèvres
Qui bouillent de plaisir
Enivre mon corps
Frémissant du désir
Découvert au sommet
De la frénésie
Là où l’amour donne
Un vrai sens à la volupté